sábado, 23 de maio de 2009

Millenium

Falei aqui sobre a febre(um pouco insana) com a série Twilight da Stephanie Meyer, os livros são bestsellers na sessão Adolescente e durante o Natal a quantidade de livros que chegavam na livraria era inacreditável, cada remessa vinha com 200, 300 livros e eles acabavam num piscar de olhos. Eu pensei que depois do Natal as vendas iriam acalmar um pouco(bem como as adolescentes histéricas), santa ingenuidade, passado o Natal não só a gente continuou recebendo as mesmas quantidades de livros como começaram a chegar o outros produtos Twilight related, como calendários, camisetas(I love boys that sparkles), bolsas, band-aid(!!!!), marcadores de livros, posters, relógios e assim vai. Pelo menos uma vez por dia quando estou no subsolo eu responso a uma pergunta relacionada à série.

Ontem lendo o Métro vi a notícia sobre o lançamento do primeiro filme baseado no primeiro livro da série Millenium do autor sueco Stieg Larson, que está na lista dos bestsellers em francês. A febre Millenium não é como a febre Twilight mas espero escutar bastante nas próximas semanas "Excusez-moi, où est la série Millenium, s'il vous plaît? Qu'elle est le premier?".


Quand on la voit enfin apparaitre à l’écran, de dos, mains dans les poches de son blouson de cuir, dévalant les couloirs du métro, on en frissonne presque d’excitation.

L’héroïne de Millenium, c’est elle, Lisbeth. Noomi Rapace, une inconnue de 29 ans, était attendue au tournant en enfilant la carapace de cette anti-héroïne. Verdict : elle crève l’écran.


Réalisée par le Norvégien Niels Arden Oplev, l’adaptation du premier tome de la saga qui a captivé près de 13 millions de lecteurs, Les hommes qui n’aimaient pas les femmes, propose deux heures et demie aussi noires que denses.

Condamné à tort par un entrepreneur véreux, Mikael Blomkvist (Michael Nyqvist) se retrouve dans le nord de la Suède pour enquêter sur la disparition d’une jeune fille, plongeant dans une sordide histoire de famille aux relants nazis. Pour l’aider, on lui impose une fille asociale, tatouée… et géniale.

Traumatisée par un passé que l’on découvrira par bribes, Lisbeth Salander (Rapace) représente une société suédoise à l’opposé de son image propre et sage.

Rencontre avec une étoile montante qui, depuis le tournage de Millenium, a retrouvé son sourire.

Faut-il être un peu fou pour jouer Lisbeth Salander?

Sûrement! Quand j’ai lu les livres, je me suis projetée dans Lisbeth, comme je le fais toujours dans tout ce que je vois! Elle est double, complexe, c’est une vraie tête de mule, mais je l’adore, je suis aussi comme ça, parfois! [Rires] Lisbeth ne correspond à aucun stéréotype. Dans la première version du scénario, on avait rendu Lisbeth un peu trop douce et gentille à mon goût. J’étais horrifiée, je ne pouvais pas jouer comme ça, à l’américaine! Alors, j’ai dû imposer ma vision, et j’ai gagné.

Comment s’est opérée votre transformation?
J’ai suivi un entraînement de kick-boxing pendant six mois avant le tournage. J’ai tenté de gommer ma féminité, de me comporter davantage en mec. Dans le livre, Lisbeth est menue, presque anorexique, elle ne se nourrit que de junk food et fume tout le temps, elle n’était pas très réaliste. J’ai essayé de la transformer en personne réelle. Maigrir et me durcir ne suffisait pas : j’ai voulu jouer moi-même les scènes d’action, et pour la scène de viol, j’ai dû laisser parler la peur au fond de moi.

Vous doutez-vous que vous éclipsez Blomkvist?
On s’est beaucoup disputés avec le réalisateur à propos des coupes, du rôle que Lisbeth devait jouer, de sa relation avec Blomkvist… Mais je crois que ça respecte le livre.

Vous avez tourné les trois films en très peu de temps. Avez-vous quitté Lisbeth avec soulagement ou regret?
On était très fatigués après le tournage du premier, et le fait de changer de réalisateur a amené de la fraîcheur, une nouvelle énergie. Lisbeth me manque un peu, mais c’est bien aussi que ce soit terminé…

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